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Georges Ohnet Oeuvres 18 titres

Georges Ohnet Oeuvres 18 titres

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Description

Georges OhnetParis, Ollendorff, Belles reliure demi-cuir, richement ornées, 12 x 18 cm., entre 1885 & 1898, intérieurs frais.Les vieilles rancunes, la fille du député, l’âme de Pierre, le maître des forges, la grande marnière, la Comtesse Sarah, volonté, le Docteur Rameau, noir et rose, le lendemain des amours, dernier amour, roi de Paris, les dames de Croix-Mort, Serge Panine, Nemrod & C., Lise Fleuron, le droit de l’enfant, la dame en gris, le curé de Favières, dette de haine, l’inutile richesse.Georges Ohnet, également connu sous le pseudonyme de Georges Hénot, né le 3 avril 1848 à Passy, et mort le 5 mai 1918 en son domicile du 14 avenue Trudaine à Paris 9e, est un journaliste, dramaturge et écrivain de romans populaires français.Petit-fils du docteur Blanche, fils de l’architecte Léon Ohnet, enrichi par les travaux d’Haussmann, et ne voulant pas prendre la suite de son père, a commencé, après ses études au collège Sainte Barbe, puis au lycée Bonaparte, des études de droit. Devenu avocat après son doctorat en droit, il délaisse très vite le barreau. Attiré par le journalisme et la littérature, il n’était pas difficile pour lui, en tant qu’avocat, de rejoindre, peu après la guerre de 1870, la rédaction du Pays, puis du Constitutionnel, où sa polémique alerte et ses chroniques l’ont fait remarquer.Ohnet est entré en littérature avec des pièces de théâtre : en décembre 1875, Regina Sarpi, drame en cinq actes, écrit en collaboration avec Louis Denayrouze, qui a eu un brillant succès. Deux ans plus tard, il a donné Marthe, comédie en quatre actes, au Gymnase. Il ensuite publié de nombreux romans d’abord insérés dans le Figaro, l’Illustration, la Revue des Deux Mondes. Il est entre autres l’auteur de la série intitulée Les Batailles de la vie dont les titres les plus connus sont Serge Panine, Le Maître de forges, histoire sentimentale utilisant les codes du mélodrame et du feuilleton dans un contexte bourgeois, La Grande Marnière, La Comtesse Sarah.Il a connu un très grand succès auprès du public et les tirages de ses romans ont été extrêmement importants. Cela concerne aussi ses drames, certaines de ses œuvres rencontrant un succès populaire rarement étendu à un auteur. Plusieurs de ses romans ont été adaptés au théâtre et, par la suite, au cinéma. Le Maitre des Forges a été joué une année entière au Gymnase (1883), suivi par Serge Panine (1884) ; La Comtesse Sarah (1887). La Grande Marnière a également connu un franc succès qui s’est prolongé (1888) et une adaptation cinématographique par Jean de Marguenat en 1943. Dernier Amour au Gymnase, en 1890 et Colonel Roquebrune à la Porte-Saint-Martin, en 1897.Il n’a pas trouvé, avec les critiques, la même faveur qu’auprès du public. Apparaissant sur la scène littéraire à une époque où le naturalisme triomphait, il a paru rétablir un moment l’idéalisme à la manière de George Sand. Les critiques l’ont souvent attaqué avec une violence passionnée et une sévérité peu commune. Victor Cherbuliez l’a éfendu en écrivant que si on ne peut détecter un flux de pensées philosophiques élevées dans ses écrits, tout du moins les personnages et les sujets dont il traite sont brillamment esquissés et clairement développés, et ils sont en outre d’une moralité et d’une honnêteté parfaites. Son exposé est étonnamment net, le développement de ses intrigues absolument logique, et le monde a salué l’ingéniosité de sa construction dramatique.Son œuvre montre comment la plus haute forme de romantisme fermentait encore sous le vernis du naturalisme, auquel elle s’est opposée, dans la forme et le choix des thèmes. Il fut l’« historiographe de la bourgeoisie française » du xixe siècle. Ainsi, son œuvre la plus populaire, le Maître de forges est une histoire sentimentale se déroulant dans un cadre bourgeois, utilisant les recettes du mélodrame et du feuilleton. En 1896, le guide Paris-Parisien le considère comme « le romancier favori de la bourgeoisie ».Ce succès lui valut d’être nommé chevalier de la Légion d’honneur le 11 juillet 1885 et les insignes lui furent remis le 18 octobre par l’écrivain Camille Doucet, secrétaire perpétuel de l’Académie française.En 1903, Georges Ohnet a acquis le château du Bois-la-Croix. Un négociant en vins parisien avait entrepris sa construction, mais la mort ne lui permit pas de terminer et sa veuve vendit à l’écrivain qui finit les travaux.Il a eu deux enfants : Léon Ohnet, mort accidentellement le 2 février 1903 à 24 ans dans la cité balnéaire d’Amélie-les-Bains ; et Claire Ohnet, qui épousa en 1901 Lucien Morane (1871-1930), ingénieur des Arts et Manufactures, gérant de la société Morane jeune & Cie, nommé chevalier de la Légion d’honneur en 1900 pour avoir obtenu un grand prix à l’exposition universelle. Ses frères Léon (1885-1918) et Robert (1886-1968) Morane fondèrent avec Raymond Saulnier (1881-1964) en 1910 la société aéronautique Morane-Saulnier.Merci wikipédiaLes envois hors de l’union européenne sont payants merci de me contacter avant de clicquer  

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